Dolce vita

Dimanche 24 Août 2025 - 21h00
Cour du château Louis XI – La Côte-Saint-André

Orchestra Sinfonica Nazionale della RAI
Daniel Kawka, direction
Lise Berthaud, alto

Programme :

Hector Berlioz,
Ouverture de Benvenuto Cellini

Franz Liszt,
Tasso, Lamento e Trionfo

Hector Berlioz, 
Harold en Italie

 

Série 1 :
Tarif plein : 65 €
Tarif réduit : 50 €
Tarif Jeune : 20
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Série 2 :
Tarif plein : 50 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif Jeune : 20 €
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Série 3 :
Tarif plein : 35 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif Jeune : 20 €
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Consulter l’ensemble des tarifs et modalités

Qui d’autre que l’Orchestra Nazionale della RAI pour incarner cette soirée inspirée par l’Italie ? À cette occasion, l’orchestre retrouve le chef Daniel Kawka, reconnu pour son interprétation de la musique romantique et moderne, et régulièrement invité à diriger cette phalange de la musique symphonique.

Empreint des thèmes très romantiques du voyage, de la déception et du triomphe, ce programme débute par l’Ouverture de Benvenuto Cellini dont le succès est inversement proportionnel à l’échec que connut le reste de l’opéra lors de sa création en 1838. Il sera sauvé quelques années plus tard par Franz Liszt, ami et fervent défenseur de l’œuvre de Berlioz.

L’échec et le triomphe sont d’ailleurs les principaux thèmes du deuxième poème symphonique de Liszt Tasso, Lamento e Trionfo. L’œuvre, créée dans sa version définitive en 1854, dépeint la vie du poète Torquato Tasso. Le Lamento met en lumière les incertitudes du poète en proie à une douleur causée par une passion amoureuse et l’absence de reconnaissance, tandis que l’éclatant Trionfo reflète la gloire du poète enfin reconnu.

Enfin, c’est à la talentueuse altiste Lise Berthaud qu’il revient de nous conduire au cœur des montagnes des Abruzzes avec la symphonie Harold en Italie, commandée à Berlioz par le célèbre violoniste Paganini. L’œuvre est inspirée des propres souvenirs du compositeur : “Je voulu faire de l’alto, en le plaçant au milieu des poétiques souvenirs que m’avaient laissé mes pérégrinations dans les Abruzzes, une sorte de rêveur mélancolique dans le genre de Childe Harold de Byron.”