La Jeune fille et la mort

Mardi 26 Août 2025 - 21h00
Cour du château Louis XI – La Côte-Saint-André

Paris Mozart Orchestra
Claire Gibault, direction
Victoire Bunel, mezzo-soprano

Programme :

Franz Schubert,
La Jeune fille et la mort (version pour orchestre à cordes de Gustav Mahler)

Hector Berlioz,
La belle voyageuse
Zaïde
La Captive
La mort d’Ophélie

Ludwig van Beethoven,
Symphonie n°8

 

Série 1 :
Tarif plein : 65 €
Tarif réduit : 50 €
Tarif Jeune : 20
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Série 2 :
Tarif plein : 50 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif Jeune : 20 €
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Série 3 :
Tarif plein : 35 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif Jeune : 20 €
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Consulter l’ensemble des tarifs et modalités

 « Ne crains rien, donne-moi ta main, je suis ton amie ». Ainsi parle la mort à la jeune fille dans le lied de Schubert à l’origine de son célèbre Quatuor n°14, « La Jeune fille et la Mort ». L’œuvre, dans sa version arrangée par Gustav Mahler pour orchestre à cordes, ouvre ce concert porté par le Paris Mozart Orchestra et sa cheffe Claire Gibault. Empreint de désespoir, le quatuor est composé en 1824 alors que Schubert est hospitalisé et se sait condamné. Peu reconnue du vivant du compositeur, il faudra attendre 1831 pour que l’œuvre soit publiée et rencontre le succès.

Beethoven compose sa huitième Symphonie en 1812. Alors en cure à Teplitz, le compositeur entretient une correspondance avec la cantatrice allemande Amalie Sebald, certainement à l’origine de l’atmosphère joyeuse de son œuvre. Mélange de l’ancien et du nouveau, cette symphonie renoue avec un style plus classique.

Quatre mélodies de Berlioz portées par la mezzo-soprano Victoire Bunel trouvent place au cœur de ce programme :  La Belle voyageuse, tout en douceur, tirée du recueil des Neuf mélodies irlandaises ; Zaïde, pièce de caractère avec partie de castagnettes obligées, empruntant au Boléro ; La Captive tirée du recueil Les Orientales de Victor Hugo et La Mort d’Ophélie, ballade sur un poème d’Ernest Legouvé d’après l’acte IV d’Hamlet de Shakespeare.