Mélodies de Berlioz 1

Vendredi 22 Août 2025 - 17h00
Église de la Côte-Saint-André

Fleurs des landes et autres mélodies

Maud Bessard-Morandas, soprano
Anne-Lise Polchlopek, alto
Hervé Billaut, piano
Thibaut Louppe, chef du chœur Spirito

Programme :

Hector Berlioz,

Fleurs des landes : Le matin ; Petit oiseau ; Le Trébuchet  ; Le Jeune Pâtre breton ; Le Chant des Bretons

La Captive
Sara la baigneuse
Pleure, pauvre Colette
Hélène
Le Montagnard exilé
La mort d’Ophélie
Plaisir d’amour

Tarif Plein : 20 €
Tarif Réduit : 15 €
Tarif Jeunes : 15 €
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Consulter l’ensemble des tarifs et modalités 

En 2025, le Festival Berlioz crée l’évènement en proposant l’intégralité des mélodies de Berlioz en quatre concerts à l’église de La Côte Saint-André ! Une première mondiale confiée au chœur lyonnais Spirito et son nouveau chef, Thibaut Louppe.

Si les douces Nuits d’été restent les mélodies les plus connues de Berlioz, son répertoire compte en réalité une cinquantaine de pièces pour voix avec accompagnement de piano ou orchestrées, composées tout au long de sa vie et d’une grande qualité.

Fleurs des Landes comporte cinq pièces, éditées en 1850. Le style populaire décliné par Berlioz s’inspire des chants francs et des paysages de la Bretagne. La nature y est idyllique, notamment dans le « Jeune Pâtre breton » ou dans le texte en forme de bergeronnette du facétieux « Trébuchet ». Aux extrêmes, « Le Matin » développe une mélodie printanière qui contraste fortement avec la fierté victorieuse du « Chant des Bretons ». Fleurs bourgeonnantes, fragrances empoisonnées ou enamourées… ce programme véhicule de riches couleurs.

D’autres mélodies, ballades et romances complètent le programme : La Captive et Sara la Baigneuse toutes deux écrites sur un poème de Victor Hugo extrait des Orientales ; Hélène du cycle des Mélodies irlandaises donnée ici dans sa version avec voix solistes ; La mort d’Ophélie dont la version avec orchestre fait partie de Tristia ; Plaisir d’amour, arrangement d’une romance du XVIIIe siècle de Martini ; mais aussi deux mélodies de jeunesse, la romance Pleure, pauvre Colette et le chant élégiaque du Montagnard exilé.