Paris Mozart Orchestra

Vendredi 23 Août 2024 - 21h00
Cour du château Louis XI – La Côte-Saint-André

Paris Mozart Orchestra
Olha Dondyk, Katharina Morin, Bar Avni, cheffes lauréates du Concours La Maestra 2024, direction
Claire Gibault, direction

Programme :

Johannes Brahms,
Danses hongroises, extraits :
n°1, 3 & 5 (direction Olha Dondyk)
n° 6, 7, 10, 17, 19 & 20 (direction Katharina Morin)

Franz Schubert,
Symphonie n°8 « Inachevée » (direction Bar Avni)

Antonín Dvořák,
Symphonie n° 9 « du Nouveau Monde » (direction Claire Gibault)

 

Série 1 :
Tarif plein : 65 €
Tarif réduit : 50 €
Tarif Jeune : 15 € ou 25 €
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Série 2 :
Tarif plein : 50 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif Jeune : 15 € ou 25 €
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Série 3 :
Tarif plein : 35 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif Jeune : 15 € ou 25 €
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Consulter l’ensemble des tarifs et modalités 

Le Paris Mozart Orchestra et sa directrice artistique seront accompagnés non pas d’une, ni de deux, mais de trois lauréates du Concours La Maestra 2024 ! Lancé en 2020 par Claire Gibault et le PMO en partenariat avec la Philharmonie de Paris, le concours remporte dès sa première édition un succès exceptionnel et permet de mettre en lumière de jeunes et talentueuses cheffes d’orchestre venues du monde entier. Dans une configuration inédite à l’image de ce concours, les trois lauréates se partageront la direction de la première partie du concert. L’Ukrainienne Olha Dondyk, 19 ans à peine et mention spéciale du réseau européen ECHO, dirigera trois Danses hongroises de Brahms, puis l’Allemande Katharina Morin, troisième Prix du concours, en dirigera six autres. La grande lauréate de La Maestra 2024, l’Israélienne Bar Avni, dirigera quant à elle la Symphonie inachevée de Schubert.

Les trois lauréates cèderont la place à la cheffe fondatrice du PMO Claire Gibault, pionnière dans le milieu encore très masculin de la direction d’orchestre, et à un autre monument de la musique d’orchestre : la Symphonie du Nouveau Monde. Dvořák prend la direction du Conservatoire de New York en 1892 et compose sa neuvième symphonie quelques mois après son arrivée. Elle traduit autant la découverte du continent américain que la nostalgie du pays, et reste d’essence profondément slave.