Orchestre Symphonique de la Radio-Télévision Croate

Jeudi 29 Août 2024 - 21h00
Cour du château Louis XI – La Côte-Saint-André

Orchestre Symphonique de la Radio-Télévision Croate
Pascal Rophé, direction
Nelson Goerner, piano

Programme :

Vatroslav Lisinski,
Ouverture de Porin

Serguei Rachmaninov,
Rhapsodie sur un thème de Paganini

Richard Strauss,
Aus Italien

 

Série 1 :
Tarif plein : 65 €
Tarif réduit : 50 €
Tarif Jeune : 15 € ou 25 €
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Série 2 :
Tarif plein : 50 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif Jeune : 15 € ou 25 €
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Série 3 :
Tarif plein : 35 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif Jeune : 15 € ou 25 €
Jusqu’à 15 ans : tu paies ton âge !

Consulter l’ensemble des tarifs et modalités 

Le chef français Pascal Rophé dirige depuis 2022 l’un des plus anciens orchestres de radio en Europe : l’Orchestre symphonique de la Radio-Télévision de Croatie fêtera un siècle d’existence dans quelques années. Leur concert au Festival Berlioz est l’occasion de découvrir la prestigieuse phalange de Zagreb mais aussi le compositeur Vatroslav Lisinski (1819-1854), considéré comme le père de la musique croate et dont on entendra l’ouverture de l’opéra Porin. Il s’est inspiré du folklore populaire et a passé sa courte vie à défendre ardemment la culture de son pays.

Richard Strauss a 21 ans quand il compose le poème symphonique Aus Italien sous-titré «Fantaisie symphonique», souvenir d’un séjour en Italie dont les titres des mouvements résument bien le programme : Dans la campagne (romaine)Ruines de Rome, Sur la plage de Sorrente, et enfin Vie napolitaine qui cite la célèbre chanson Funiculì funiculà.

En convoquant Rachmaninov et Paganini, le pianiste argentin Nelson Goerner promet de faire flamboyer le piano et la scène du Château Louis XI au fil des vingt-quatre variations de la Rhapsodie sur un thème de Paganini, en l’occurrence celui du célèbre vingt-quatrième Caprice pour violon qui avant Rachmaninov avait déjà inspiré Brahms et Liszt. Comme Berlioz dans sa Symphonie fantastique, il cite furtivement le thème du dies irae – peut-être une allusion au talent légendaire et quasi démoniaque de Paganini…